Né en 1948 à Villemomble, Daniel Picouly est le onzième d’une famille de treize enfants d’origine martiniquaise. Après des études de comptabilité, de gestion et de droit, il devient professeur d’économie à Paris. En 1992, grâce à Daniel Pennac, il publie son premier roman : La lumière des fous. Depuis, il a écrit une vingtaine de romans dont l’irrésistible Le Champ de personne, Grand prix des lectrices de Elle (1996), L’Enfant léopard, prix Renaudot, 1999 et, tout récemment, Un beau jeudi pour tuer Kennedy (Grasset, 2006). À l’occasion de son voyage au Liban début décembre, dans le cadre des journées Hachette, il a bien voulu répondre au fameux questionnaire.

l Quel est le principal trait de votre caractère ?
L’hésitation.
l Votre qualité préférée chez une femme ?
Son mari !
l Qu’appréciez-vous le plus chez vos amis ?
Leur fidélité.
l Votre principal défaut ?
L’indécision.
l Votre occupation préférée ?
Chez moi.
l Votre rêve de bonheur ?
Je ne rêve pas, j’ai...
l Quel serait votre plus grand malheur ?
Perdre ma fille.
l Ce que vous voudriez être ?
Fier de moi.
l Le pays où vous désireriez vivre ?
La France.
l Votre couleur préférée ?
Le noir.
l La fleur que vous aimez ?
La tulipe.
l L’oiseau que vous préférez ?
Le Bengali.
l Votre auteur favori en prose ?
Marcel Proust.
l Votre poète préféré ?
Henri Michaux.
l Votre héros dans la fiction ?
Fabrice del Dongo.
l Votre héroïne dans la fiction ?
Albertine.
l Votre peintre favori ?
Van Gogh.
l Votre compositeur préféré ?
Otis Redding.
l Votre héros dans la vie réelle ?
Cassius Clay.
l Vos prénoms favoris ?
Marie et Clément.
l Ce que vous détestez par-dessus tout ?
La suffisance.
l Les caractères historiques que vous détestez le plus ?
Napoléon.
l Le fait militaire que vous admirez le plus ?
L’appel du 18 Juin.
l La réforme que vous estimez le plus ?
L’abolition de la peine de mort.
l L’état présent de votre esprit ?
Apaisé !
l Comment aimeriez-vous mourir ?
Sans le savoir...
l Le don de la nature que vous aimeriez avoir ?
Dessiner !
l Les fautes qui vous inspirent le plus d’indulgence ?
Les fautes d’orthographe.
l Votre devise ?
« Tenir. »