Hoda Barakat
2013-05-02
Née au Liban en 1952, la romancière Hoda Barakat est considérée comme l’un des plus grands écrivains contemporains de langue arabe. Ses romans, écrits en arabe et traduits dans une dizaine de langues, sont tous parus en français chez Actes Sud : La Pierre du rire (1996), Les Illuminés (1999), Le Laboureur des eaux (2001), Mon maître, mon amour (2007) et Le Royaume de cette terre (2012).Tous se déroulent toujours au Liban. Elle a reçu en 2000 le prestigieux prix Naguib Mahfouz.
 Quel est votre principal trait de caractère ?
Je ne sais pas. Je me plante souvent.
Votre qualité préférée chez un homme ?
L’intelligence, seulement s’il est aimable.
Votre qualité préférée chez une femme ?
Pareil. Plus le courage.
Qu’appréciez-vous le plus chez vos amis ?
L’amitié.
Votre principal défaut ?
L’impatience.
Votre occupation préférée ?
Ma petite-fille.
Votre rêve de bonheur ?
La liberté de se défaire du besoin d’argent.
Quel serait votre plus grand malheur ?
Je n’ose pas le formuler.
Ce que vous voudriez être ?
Une musicienne.
Le pays où vous désireriez vivre ?
Le Liban, si…
Votre couleur préférée ?
Le vert émeraude.
La fleur que vous aimez ?
Le jasmin d’Orient.
L’oiseau que vous préférez ?
Le moineau.
Vos auteurs favoris en prose ?
Ils sont trop nombreux.
Vos poètes préférés ?
Pareil… Moutanabbi, B. Hajjar, A. Beydoun, H. Mohammad.
Vos héros dans la fiction ?
Les shakespeariens…
Vos compositeurs préférés ?
Ça va avec l’écriture en chantier… Pour le moment Chopin et Abdel Halim.
Vos peintres favoris ?
Van Gogh, R. Abdallah.
Vos héroïnes dans la vie réelle ?
Des inconnues.
Vos prénoms favoris ?
Yasmine.
Ce que vous détestez par-dessus tout ?
Mes angoisses.
Les caractères historiques que vous détestez le plus ?
Les nazis, nazillons et co.
Le fait militaire que vous admirez le plus ?
Ce que rapporte le Didascalicon de Hugues de Saint-Victor.
La réforme que vous estimez le plus ?
Celle attendue dans mon pays…
L’état présent de votre esprit ?
Dispersée…
Comment aimeriez-vous mourir ?
Dans mon sommeil.
Le don de la nature que vous aimeriez avoir ?
Une très belle voix.
Les fautes qui vous inspirent le plus d’indulgence ?
Celles commises par un excès de sincérité.
Votre devise ?
Compter sur le vide du monde…