Najwa Barakat
2012-10-04
Najwa Barakat est née à Beyrouth en 1960. Elle vit depuis 1985 à Paris, où elle a fait des études de cinéma et travaillé comme journaliste dans la presse écrite, radiophonique et audiovisuelle. Elle a fondé en 2009 un atelier d’écriture, « Comment écrire un roman ». Elle est l’auteure de cinq romans en arabe, dont Bâs al-awâdem (Le Bus des gens bien, Stock, 2002), et d’un roman en français (La Locataire du pot de fer, L’Harmattan, 1997).Â
 l Quel est le principal trait de votre caractère ?Â
La sincérité.
l Votre qualité préférée chez un homme ?
La générosité.
l Qu’appréciez-vous le plus chez vos amis ?
La sincérité.
l Votre principal défaut ?
L’impulsivité.
l Votre occupation préférée ?
Méditer.
l Votre rêve de bonheur ?
Une belle maison avec une vue panoramique.
l Quel serait votre plus grand malheur ?
Que quelque chose arrive à ma fille.
l Ce que vous voudriez être ?
Chef d’orchestre.
l Le pays où vous désireriez vivre ?
L’Italie.
l Votre couleur préférée ?
Le noir.
l La fleur que vous aimez ?
Le tournesol.
l Vos auteurs favoris en prose ?
Dostoïevski, Musil, Taha Hussein, Nabokov, etc.
l Vos poètes préférés ?
Shakespeare, al-Mutanabbi, Rimbaud, RÃtsos.
l Vos héros dans la fiction ?
Don Quichotte, Jacques le Fataliste.
l Vos compositeurs préférés ?
Mozart, Sayyed Darwich.
l Vos peintres favoris ?
Van Gogh, Picasso, Magritte, Paul Guiragossian.
l Vos héros dans la vie réelle ?
Mon père et mon grand-père.
l Ce que vous détestez par-dessus tout ?
Le mensonge et la médiocrité.
l Les caractères historiques que vous détestez le plus ?
Tous les dictateurs arabes.
l Le fait militaire que vous admirez le plus ?
La bataille de Hattin (menée par Saladin en juillet 1187) et la chute de Jérusalem qui s’ensuivit.
l La réforme que vous estimez le plus ?
Les congés payés et le droit de vote des femmes.
l L’état présent de votre esprit ?
Un peu brouillon.
l Comment aimeriez-vous mourir ?
Dans un pré, le dos collé au tronc d’un chêne.
l Le don de la nature que vous aimeriez avoir ?Â
Une voix exceptionnelle.
l Les fautes qui vous inspirent le plus d’indulgence ?
Le vol par nécessité.
l Votre devise ?
On ne devient que ce que l’on est.