Né à Beyrouth en 1966, Gérard Bejjani est professeur de littérature française à l’Université Saint-Joseph et directeur académique de l’Université Pour Tous. Chevalier dans l’ordre des palmes académiques, il est aussi l’auteur de deux ouvrages de didactique et d’un roman, La Parenthèse, sorti en décembre dernier aux éditions L’Harmattan.

l Quel est le principal trait de votre caractère ?

La ferveur.

l Votre qualité préférée chez une femme ? 

Sa douceur.

l Qu’appréciez-vous le plus chez vos amis ?

Leur largesse.

l Votre principal défaut ?

Mes variations d’humeur.

l Votre occupation préférée ?

Regarder la mer.

l Votre rêve de bonheur ?

Retrouver ma mère.

l Quel serait votre plus grand malheur ?

Ne plus voir la lumière du jour.

l Ce que vous voudriez être ?

Un enfant heureux.

l Le pays où vous désireriez vivre ?

Un Liban propre et vert.

l Votre couleur préférée ?

Le rouge.

l La fleur que vous aimez ?

L’œillet du poète.

l L’oiseau que vous préférez ?

L’oiseau bleu.

l Vos auteurs favoris en prose ?

Gustave Flaubert, Jules Barbey d’Aurevilly, Marguerite Yourcenar.

l Vos poètes préférés ?

Arthur Rimbaud, Jean Racine, Pablo Neruda, Jean de la Croix.

l Vos héros dans la fiction ?

Phèdre, le prince Mychkine, Mija.

l Vos compositeurs préférés ?

Franz Schubert, Jean-Sebastien Bach, John Lennon.

l Vos peintres favoris ?

Vincent Van Gogh, Gustav Klimt.

l Vos héros dans la vie réelle ?

Le Christ, Mère Teresa, Hadrien, Rabîndranâth Tagore.

l Vos prénoms favoris ?

Nada, Talal.

l Ce que vous détestez par-dessus tout ?

L’orgueil.

l Les caractères historiques que vous détestez le plus ?

Tous les dictateurs et les inquisiteurs.

l Le fait militaire que vous admirez le plus ?

Militaire ? Strictement militaire ? Aucun.

l La réforme que vous estimez le plus ?

La loi Jules Ferry pour l’instruction obligatoire.

l L’état présent de votre esprit ?

Instable.

l Comment aimeriez-vous mourir ?

Sans douleur.

l Le don de la nature que vous aimeriez avoir ?

Porter un enfant.

l Les fautes qui vous inspirent le plus d’indulgence ?

Toutes les fautes « naturelles ».

l Votre devise ?

L’absurde étant, faisons BIEN ce que nous faisons.